Dites OUI à la beauté d’un jour inoubliable

AYO Mariage est un Showroom situé à Genève qui accueille chaleureusement les futures mariées. La séance s’effectue sur rendez-vous, afin d’offrir un instant privilégié et intimiste aux clientes.

Katia PETROSSIAN, dirigeante d’AYO Mariage propose sur rendez-vous un accompagnement personnalisé pour la future mariée. A travers les diverses propositions de robes de mariées, les chaussures élégantes, les accessoires de têtes et la lingerie adaptée aux dos nus, tout est étudié avec attention et minutie. « Nous invitons nos clientes à essayer un style très épuré, en proposant des modèles à coupe droite ou ajustée. Nous avons remarqué que le style bohème chic, champêtre est très en vogue de nos jours. Notre showroom représente la femme moderne : celle qui souhaite se sentir elle-même le jour de son mariage. » Pour y parvenir, les matières sont choisies avec soin : dentelles de calais, soie, le tout fait à la main dans des ateliers français ! Ayant le goût du détail et apprenant à déceler la personnalité des futures mariées, Katia a l’œil pour dénicher les coupes, tissus, robes et accessoires qui vous mettront en valeur pour ce jour si exceptionnel. « Pendant l’essayage, je guide également la mariée vers des modèles auxquels elle n’aurait pas forcément songé. J’étudie la morphologie, le tissu, la coupe de la robe. Mais je reste toujours à l’écoute. A ce jour, nos mariées nous ont fait confiance et elles ont eu raison de le faire. L’équipe d’AYO Mariage sait recevoir, mettre en confiance et sublimer la future mariée pour un jour aussi important. » ajoute-t-elle enjouée. Quant aux projets d’avenir, ils ne manquent pas ! Katia souhaiterait ouvrir un second Showroom en Suisse alémanique afin d’élargir sa clientèle. Enfin, elle aimerait concrétiser un projet qui lui tient à cœur : celui de donner une seconde vie aux robes de mariées ! « Grâce à une vente des robes déjà utilisées, nous resterons dans un esprit écoresponsable. C’est aussi une façon de partager son bonheur avec d’autres femmes qui n’auraient pas forcément les ressources financières nécessaires.»